Conclusion

Il est clair que le racisme qu’un migrant peut trouver en France est douloureux, et il blesse l’esprit. La partie de l’identité qui dit « je n’étais pas né français » peut devenir quelque chose qu’un migrant veut se cacher. Mais ces artistes utilisent leur art pour réclamer leur nationalité. Les artistes discutent des sujets avec lesquels ils ont une expérience personnelle, mais aussi des sujets avec lesquels beaucoup d’autres gens peuvent s’identifient. Les migrants et descendants des migrants sont tous familier avec les concepts des barrières sociales, hybridation de l’identité, et documents de la citoyenneté. Ces artistes deviennent des symboles de l'expérience migrante, avec lesquels les autres peuvent trouver du réconfort. L’artiste nous montre qu’il n’est pas nécessaire de choisir une seule identité. Un migrant peut exister dans un état de double : et algérienne (libanaise, grecque, turque, etc.) et français.

Avec l’art l’artiste transmit un message aux spectateurs, et dans ces trois cas-ci, le message est la fierté. Aussi infusé dans cette fierté est la colère. Cette colère ajoute à la puissance de l’œuvre, et les spectateurs peuvent ressentir un peu d’expérience de l’artiste en appréciant l’œuvre. Ça évoque l’empathie, qui est nécessaire pour faire un changement social. Chaque artiste contribue à cette collection des histoires et des émotions pour construire un narratif compréhensive de l’expérience individuelle qui devient l’expérience universelle.

Conclusion