Le mur

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Ça c’est le mur de frontière entre Bethléem et la reste de la Cisjordanie qui est occupée par l’armée israélienne et des implantations de colons juifs. Il a été construit par Israël pour des raisons de sécurité. Il devenait un centre de la résistance non-violente palestinienne. Beaucoup d’art politique a été peint sur le mur en manifestation de la présence d’une telle division sur la terre palestinienne.  La barrière est également symbolique et efficace en restreignant le mouvement des palestiniens.

Depuis la guerre de 1967, la Cisjordanie avait été sous l’occupation de l’État d’Israël, qui l’a pris de la Jordanie. 61% de la terre est zone C, qui est sous le contrôle directement israélien, seulement 1% de ce territoire est réservé pour les palestiniens qui sont interdits de construire des maisons sur cette terre. Dans la Cisjordanie il y a presque 100 points des contrôles permanant et plus de 150 points des contrôles mobiles. Il y a 11 rues dont les palestiniens sont complètement interdit d’utiliser.[1] La territoire de la Cisjordanie est vraiment fracturé par des barrières et implantations de colons. Pour partir la Cisjordanie ou le Gaza, on est obligé de procurer un permet des autoritaires israéliens. Dans le film, Une bouteille à la mer,réalisé par Thierry Binisti, le personnage principal palestinien, Naim, doivent payer beaucoup d’argent et attendre beaucoup de temps pour recevoir ses papiers pour partir Gaza et étudier en France.

L’art sur le mur de Bethléem se rappelle quelques thèmes qu’on est étudié ce semestre, notamment le thème de paradis. Dans la photo deux peintures représente une vision de l’autre côté du mur. Vers eux, on peut « voir » l’autre côté, mais il semble qu’il ne représente pas une idée de l’autre côté physique, mais une idée métaphorique—ils sont des images de la liberté du mouvement d’une avenir optimiste. Les fissures peint autour d’une peinture semble d’exiger que le mur doive tomber. Sur des autres parties du mur ils sont des autres peintures et des autres pièces d’art. Ils souvent moquent des politiciens, sur une autre section du mur, il y a une peinture de Trump et Netanyahu s’embrassant, par exemple. Surtout, l’art sur le mur représente un appel pour unité et résistance.

 Dans une autre sens, l’art représente une réclamation de l’espace qui avait été vraiment priser des palestiniens de Bethléem et symboliquement du territoire palestinien en général. En faisant cela, ils aussi tentent de réclamer le récit du conflit et un certain pouvoir symbolique. C’est une réaction similaire à celle d’Ali dans le film Ali Zaoua, prince de la rue, réalisé par Nabil Ayouch. Les enfants de la rue dans le film, desquels Ali est un, sont vraiment dépouillés. Pour maintenir la dignité et l’espoir ils se rêvent fantastiquement d’une vie meilleure. Ali, par exemple, a un rêve magique d’être un marin libre et heures avec sa propre île. Il a dessiné une image dans sa chambre son rêve, qui est peint sur les murs d’une grotte par magique. Il semble que ce rêve fantastique sur le mur de la grotte ressemble les rêves des palestiniens peint sur le mur frontière en Cisjordanie. Une vision d’un avenir paisible et prospère qu’aujourd’hui semble très distant.



[1] https://www.btselem.org/freedom_of_movement/checkpoints_and_forbidden_roads

Le mur