Le boulevard périphérique

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Une carte du partage du logement social 

C’est une photo de la rocade autour de Paris. La rocade est une autoroute qui divise Paris propre de ses banlieues. C’est une barrière ou frontière physique mais aussi mentale entre la ville relativement riche et Européen et les banlieues ouvrières et d’immigrants. Où l’autoroute divise Paris et une banlieue riche, en général la route marche sous la terre, mais autrefois c’est très visible et difficile pour les pedestrians de croiser. Même où la route périphérique marche sous la terre, cependant, il y a une telle division psychologue. Cette frontière coupe le cœur de la région métropolitain de ses jambes. C’est un symbole de la disparité entre Paris et ses banlieues pauvres.   

Le boulevard périphérique a été finit en 1973. Si la route semble comme un mur pour les résidents, peut-être c’est parce qu’elle a remplacé un. Le mur de Thiers a été déconstruit en 1920, laissant une bague des terres vacantes. Cette terre devenait un grand bidonville autour de la ville, qui pour sa parte a été détruit pendant les années cinquante pour construire le boulevard périphérique. Alors, pour plus de cent ans, il y avait une division entre la ville de Paris et les villes et banlieues qui l’entourent. L’histoire de ségrégation économique et ethnique et très longue. Quand le baron Haussmann transformait Paris avec ses grands boulevards, il y avait une stratégie de déplacer les classes pauvres et peut-être révolutionnaires au nord et à l’ouest du centre-ville. Au début du vingtième siècle les ouvrières dans les usines s’installaient près de ses usines qui entourent Paris. Après la seconde guerre mondiale les immigrants qui reconstruisaient la France s’installaient dans les bidonvilles en dehors de Paris. Dans les décennies suivantes, le gouvernement construisait les appartements publics et déconstruisait les bidonvilles, mais les appartements sont tellement ségrégés. Aujourd’hui les banlieues souffrent d’un stigmate, et ils avaient devenue des espaces stigmatisés.

Dans la carte, on peut voir le partage du logement social de chaque district, arrondissement, et ville dans l’ile de France. Paris ni les banlieues du sud-ouest ont beaucoup de logement social, en fait, ils sont plein des districts ou il n’y a aucuns logements sociaux. Pour la plupart ils sont dans les banlieues au nord et à l’ouest de Paris. Alors, cette division a des grandes conséquences pour la fabrique sociale et économiques de la région.

Evidemment, cette situation avait créé une division culturelle et politique aussi. Il y a un fort sens d’un autre aux banlieues. Et le géographie de la région renforce l’exclusion sociale. C’est une situation un peu comme celle dans le livre Choc des civilisations pour un ascenseur Piazza Vittorio, par Amara Lakhous, ou les immigrants dans l’immeubles sont exclus de l’ascenseur, et dans les têtes de quelques personnages, de l’identité italienne. Dans une manière plus vaste, les habitants des banlieues sont souvent exclus de l’opportunité de la région de Paris et l’identité française.

Le boulevard périphérique