Ce qu'emporte le migrant, ce qui permet la conservation de l'identité

Quand l’individu arrive au moment où il faut quitter la maison et le pays natal, qu’est-ce qu’il emporte avec lui ? Qu’est-ce qu’il peut emporter avec lui, qu’est-ce qui est laissé ? Parmi ce cours, il était question de l’identité des migrants et des réfugiés. Comme Amin Maalouf a écrit, l’identité « ne se compartimente pas », c’est-à-dire qu’elle est complexe et entière pour chaque individu (Maalouf, 8). L’identité est formée par plusieurs variables—la religion, la culture du pays natal, la langue, la race, la classe sociale, par exemple—et il est difficile de « vivre pleinement » quand ces appartenances sont en contradiction avec l’un l’autre ou avec l’espace loin de chez lui que l’individu occupe (Maalouf, 9). Alors, l’identité est quelque chose d’abstrait qui pourrait être représentée et observée dans les choses auxquelles l’individu tient. Une des luttes principales du migrant, ou un individu bougeant d’un lieu à un autre pour les raisons variables, ainsi que du réfugié, celui qui a été forcé à sortir de chez lui pour peur de la persécution, la guerre ou le désastre, est donc la question de comment ils peuvent expriment leurs identités.

En traversant les frontières géographiques, politiques et sociales en cherchant de la nouvelle vie, le migrant et le réfugié font face aux grands défis à leurs identités. Cette collection se concentre aux affaires des migrants et des réfugiés pour analyser à quoi ils ont la capacité de conserver pendant le trajet éprouvant. Ce sont des affaires physiques ainsi qu’internes, des exemples de comment l’individu peut représenter son identité et en rester fier. On va aborder à la question : malgré toutes les conditions, en quoi les affaires permettent le migrant et le réfugié à s’accrocher à l’identité ?

Credits

Beatriz Lichauco